Page:Mallarmé - La Musique et les lettres.djvu/61

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cher à l’adolescence une ferveur tenue d’aînés ; j’affectionne cette habitude : il ne faut, dans mon pays ni au vôtre, convînmes-nous, qu’une lacune se déclare dans la succession du fait littéraire, même un désaccord. Renouer la tradition à des souhaits précurseurs, comme une hantise m’aura valu de me retrouver peu dépaysé, ici ; devant cette assemblée de maîtres illustres et d’une jeune élite.

À bon escient, que prendre, pour notre distraction si ce n’est la comédie amusante jusqu’au quiproquo, des malentendus ?

Le pire, sans sortir d’ici-même, celui-là fâcheux, je l’indique pour le rejeter, serait que flottât, dans cette atmosphère, quelque