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de surexcitation. Geneviève sanglotait. Mme Renaud me considérait fixement… Ah ! comme nous nous comprenions ; nos yeux pleins de larmes échangeaient des pensées de gratitude. Une émotion extraordinaire nous transportait. Nous étions hors de nous… Tout à coup, Mme Renaud m’étreignit la tête et me baisa au front, en s’écriant — vaincue :
— Ah ! Mon enfant… Mon enfant… Que Dieu veuille juger ma conduite comme la juge ta conscience… Je ne peux pourtant pas tuer ma fille !