Page:Marcellin, Jornandès, Frontin, Végèce, Modestus - Traductions de Nisard, 1860.djvu/355

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ne se sentît offensé de cette élection, consommée sans son concours ; mais cette crainte ne tarda pas à s’évanouir. La politique de ce prince, d’accord avec les inspirations de sa bienveillance naturelle, lui fit prendre sur lui le soin de protéger son frère et de veiller sur son éducation.