Page:Marguerites françaises.djvu/208

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pres à faire naistre l’amour.

Favevr.

Vous ne me pouvez denier vos faveurs, sans offenser vostre honnesteté.

Si j’avois à combattre le pouvoir de la fortune, je ne souhaitterois de plus fortes armes, que les faveurs desquelles vous gratifiez ma condition.

C’est la plus grande faveur que je sçaurois vous donner, que de m’exposer à la mercy de vostre discretion.

Tous les delices du monde,