Page:Marguerites françaises.djvu/296

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beur, que la conscience d’avoir bien fait.

Les peines sont douces à ceux qui constituent leur repos à un honneste travail.

Le travail est tousjours plus violent à la recherche qu’à la conservation de ce que l’on possede.

Ce qui est acquis avec beaucoup de peine et de sueur, a le goust bien plus savoureux, que ce qui nous vient sans travail.

Assez travaille pour soy, qui travaille pour autruy, en fait du bien de l’ame.

Il faut travailler nostre