Page:Marguerites françaises.djvu/304

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dellement, ce que ma voix ne vous peut faire entendre.

Asseurez mes foibles esperances par un arrest favorable, escrit de vostre belle main, et me donnez quelque tesmoignage, que ne me jugez indigne d’une reciproque affection.

Ma vie se rendra à la mercy des cruelles mains de la Parque, si vostre souvenance ne me donne par quelqu’un de vos escrits, une faveur qui rendra vains tous les plus mortels accidents du monde.

Je ne demande point tant d’estre escrit sur le papier,