Page:Marguerites françaises.djvu/306

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mais l’arrest favorable qui me conservera.

S’il est vray (comme l’on tient) que ce qui est rare fort precieux, vos lettres me doyvent estre merveilleusement precieuses, puis que si rarement j’en reçois.

Ceste lettre vous representera mon intention, et ce que ma parole ne vous peut faire entendre.

Acceptez en mon lieu ceste lettre, et y remarquez en la lisant l’image de mes affections.

Recevez celle ci, pour perpetuelle obligation de mon service, et comme un gage