Page:Marguerites françaises.djvu/354

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Novvelles.

Je recognoy bien par ces tristes nouvelles, que ce que nous cerchons à coup de rame, s’enfuit devant nous à voile desployée.

Ceste nouvelle travaille mes conceptions, et estouffe ma parole.

La plus douce nourriture de mon esprit est, de pouvoir entendre de vos nouvelles.

J’ouvre volontiers mon cœur aux nouvelles de ma fin, puisque ce sont celles de ma felicité.

Les Amants sont ordinai-