Page:Marguerites françaises.djvu/409

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la vertu, comme à son pays, doit fuir les voluptez, comme le chant des Syrenes.

Chacun de nous a deux fols conseillers, la douleur, et la volupté.

Faut il qu’une fumée de fresles plaisirs nous semble des faveurs d’une glorieuse fortune.

Il n’y a volupté en ce monde si grande que le contentement, que nous recevons en nostre conscience d’une belle et louable action.

La vie sans voluptez, c’est un long chemin sans hostellerie.