Page:Marguerites françaises.djvu/410

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Le passage est bien difficile des nuicts de la volupté, aux veilles de la vaillance.

Le jour qui esleve le corps sur la volupté, le mettra au dessous de la douleur.

Mes persuasions, pour m’engager à leur party, faisoyent vivre les plaisirs de mon humeur, et mourir ceux de ma conscience.

Les fausses joyes des voluptez mondaines, produisent à la fin des douleurs veritables.

Il vaut mieux avoir ce contentement en l’ame, d’avoir vaincu le plaisir, que d’en