Page:Marguerites françaises.djvu/477

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bien) ne faites estat de mon amitié, ni de ma constance.

Reqverir.

Mon importunité importune vostre grandeur, avant que de luy avoir rendu du service.

Si jamais la courtoisie fut hostesse de vostre ame, et si jamais vostre secours a esté favorable aux affligez, n’en deniez maintenant, quelque partie à celuy qui vous en requiert si humblement.

Je ne requiers de vos dou-