Page:Marguerites françaises.djvu/482

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cretion en vos actions.

Une amitié sainte et parfaite est tousjours allaictée du respect et de la crainte.

Cela est du devoir de ceux qui ont presté le serment de fidelité à la discretion.

Ce seroit un blaspheme contre ma discretion, de rompre un dessein qui est loué de la vostre.

Sa diseretion commandant le silence, la rendit aussi tost convaincue qu’accusée.

Le respect que je vous doy est trop grand, et pour ce je n’ay garde d’user de licence à parler insolemment en vo-