Page:Marguerites françaises.djvu/507

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temps ignoré ce que je voulois vous declarer.

Sovhaits.

Les souhaits esloignez de l’honneur, ne sont jamais suivis que de tragicques infortunes.

Je m’estime en l’estat de parfaite felicité, d’obtenir ce que je souhaite, et suis à vous, pour estre ce qu’il vous plaira.

La loy de nos affections est de ne desirer rien que nous ne peussions souhaiter publiquement.