Page:Marguerites françaises.djvu/558

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vœux, enfans legitimes de ma foy, n’ont jamais aspiré et n’aspirent en rien ou les regles de la vertu ne marchent en teste.

Mes conceptions sont tellement unies avec le devoir, que je n’ose me persuader le moindre de vos vœux.

Il n’y a point d’obligations si grandes, qui ne se puissent recognoistre avec les vœux et les offrandes.

Quelque part que mes destinées me portent, mes vœux et mes prieres pour vostre prosperité, seront continuellement tournees vers le Ciel.