Page:Marguerites françaises.djvu/569

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mon merite ne m’en peut acquerir.

Si l’extrémité où mon ame est reduite par l’effort de vos beaux yeux, vous estoit aussi manifeste, comme mes devotions vous sont fidellement dediées, j’esperois, que de l’estre de mon mal sortiroit l’essence de mon bien.

Ce qui ne plaist point à l’œil, est odieux au cœur.

FIN.