Page:Marguerites françaises.djvu/74

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Assevrance.

Vous ne devez non plus revoquer en doute l’eternité de mon amour, que l’immortalité de mon ame, qui ne peut jamais estre capable d’affection, ni de devotion que pour vous.

On ne peut avoir trop d’asseurance des choses que lon desire beaucoup.

Je ne demande autre preuve de vos affections, que celle que m’en donne ma propre conscience.

N’entrez en ombrage de