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DILETTANTISME
ous parlions de Stendhal, au coucher du soleil,
Dans un grand jardin triste, odorant et vermeil,
Mais vieux, abandonné par cent ans d’inculture,
Aux envahissements d’une folle nature.
À l’abri des regards, nous n’étions que nous trois
Dans ce verger sauvage, et tandis que nos doigts
Faisaient, — joyeusement épris de ces rapines, —
De leurs arbustes verts tomber les mandarines,