Page:Mariéton - Hellas, 1889.djvu/55

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Et la mère est debout, d’un bras la caressant,
Et de son autre main serrant la main tendue.
— « Mère, te voilà donc, je t’ai bien attendue ! »
Se plaint la pauvre morte au front compatissant.
 
La Mère, alors, étouffe un sanglot qui l’oppresse :
« Enfant, console-toi, va, je te reviendrai ! »
Et la plus jeune sœur qui dans l’ombre a pleuré
Ajoute à ce discours un soupir de tristesse…