Page:Marie-Victorin - Récits laurentiens, 1919.djvu/91

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La jument a avancé le cou, et en quatre bouchées elle a tout jeté par terre…

Et l’excellente femme me serrait contre elle, en m’essuyant les yeux.

— Oui, mais ça n’empêche pas que toute ma récolte est perdue !

— Jean lui a donné trois ou quatre bonnes claques sur le museau, et je te dis qu’elle s’est reculée, la jument de Baptiste !