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MARIE DE COMPIÈGNE
ET
L’ÉVANGILE AUX FEMMES[1]


I
MARIE DE FRANCE ou MARIE DE COMPIÈGNE

Marie de France a été l’un des poètes les plus remarquables du treizième siècle. À ce titre, elle mérite d’attirer l’attention de tous ceux qui étudient les origines de notre

  1. Bibliographie de la question. — Notice de Marie de France, dans la Revue anglaise archæologia (L. XIII, p. 36), par l’abbé de La Rue professeur d’histoire à l’Académie de Caen, correspondant de l’Institut (1806).
    Œuvres de Marie de France, avec une notice de M. de Roquefort, Paris, chez Chassariau, 1820, 2 vol.
    Jongleurs et Trouvers, par M. Jubinal, Paris, 1835.
    Les Lais de Marie de France, traduction en vers allemands, précédée d’une introduction, par M. Hertz. Stuttgard 1862.
    Fables inédites des xiie xiiie et xive siècles. Paris, 1825, par M. Robert.
    Le Grand-d’Aussy (fabliaux ou contes, 3e édit. Paris, 1829).
    De ætate rebusque Mariæ Francicæ nova quæstio instituitur. Dissertatio inauguralis, etc., par M. Ed. Mall.
    Et accessoirement :
    A. Rothe (Les Romans du Renard examinés, etc. Paris, 1845).
    Méon (Le Roman du Renard. Paris, 1826).
    De Reiffenberg (Chronique de Ph. Mouskès).
    F. Michel (Rapport à M. le Ministre de l’Instruction publique, sur la vie de Saint Edmond, de Denys-Pyramus).