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DE MARIE DE FRANCE.
FABLE XXXIX.
Dou Vilains cui li Escarboz entra en cors ;
alias
Dou Vileins qui se dormeit contre le Soloil adenz[1].
D’un Vilain dist qui se giseit[2],
Cuntre le Solueill se dormeit,
Adenz s’est mis[3] tuz descuvers
E ses pertuiz[4] fust tot uvers ;
- ↑ La Fontaine, liv. I, fab. x, la Montagne qui accouche.
Horat. Arte poet., v. 139.
Phædr., lib. IV, f. xxii. Mons parturiens.
Romul. Nil., lib. II, f. xxii ; idem.
Rabelais, Pantagruel, liv. III, ch. xxiv, p. 132.
Le Grand d’Aussi, Fabliaux, tom. IV, p. 234. - ↑ Reposer, du verbe gesir, jacere,
- ↑ Couché de son long et le visage contre terre.
- ↑ Son derrière.
Variantes.
- ↑
Et ses cus si estoit ouvers.