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Page:Marinetti - La Ville charnelle, 1908.djvu/159

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LE SOIR ET LA VILLE

car le Soir pardonnait à la Ville cruelle.

Il s’en alla meurtri, avec au fond des yeux
une pitié suprême… et son pas s’alanguit
pour ne point écraser des astres dans les cieux.

Et les clochers mouraient avec des larmes bleues.