Ah ! je ne sais ce que je dois faire.
Monsieur Lélio, expliquez-vous, et ne vous attendez pas que je vous devine.
Eh bien ! madame, me voilà expliqué… M’entendez-vous ! Vous ne répondez rien… Vous avez raison ; mes extravagances ont combattu trop longtemps contre vous, et j’ai mérité votre haine.
Levez-vous, monsieur.
Non, madame, condamnez-moi, ou faites-moi grâce.
Ne me demandez rien à présent ; reprenez le portrait de votre parente, et laissez-moi respirer.
Vivat ! Enfin, voilà la fin.
Je suis contente de vous, monsieur Lélio.
Parguienne ! ça boute la joie au cœur.
Ne vous mettez en peine de rien, mes enfants : j’aurai soin de votre noce.
Grand marci ; mais, morgué ! pisque je sommes en joie, j’allons faire venir les ménétriers que j’avons retenus.