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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/423

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Qu’à son Autheur nostre Princesse donne
Pour ceste fois de Laurier la Couronne :
Et m’y consens, qui point ne le congnois,
Fors qu’on m’a dit, que c’est un Lyonnais.
O Sainct Gelais creature gentile,