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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/611

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Je vous envoye
Mon feu de joye :
Si j’avois mieulx,
Devant voz yeux
Il seroit mis.
A ses Amis
Bien, tant soit cher,
Ne fault cacher.
Or est besoing,