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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/626

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Pour la petite Princesse de Nauarre
A Madame Marguerite
(Du Recueil)

Voyant que la Royne ma Mere
Trouve à present la Ryme amere,
Ma Dame, m’est prins fantasie
De vous monstrer, qu’en Poesie
Sa Fille suis. Arriere Prose,