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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/627

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Puis que rimer maintenant j’ose.
Pour commencer donc à Rimer,
Vous pouvez (ma Dame) estimer,
Quel joye à la Fille advenoit
Sachant que la Mere venoit :
Et quelle joye est advenue
A toutes deux à sa venue.
Si vous n’en sçavez rien, j’espere,
Qu’au retour du Roy vostre Pere
Semblable joye sentirez,
Puis des nouvelles m’en direz.