nale cette prolongation de pouvoir sous la forme de simple délégation. Ainsi la solution est retardée, le statu quo maintenu, une fraction du parti de l’ordre compromise par l’autre, affaiblie, rendue impossible ; la répression de l’ennemi commun, la masse de la nation, est étendue et poussée à bout, jusqu’à ce que les conditions économiques aient de nouveau atteint un point de développement tel qu’une nouvelle explosion envoie dans les airs tous ces partis querelleurs rejoindre la République constitutionnelle.
Pour tranquilliser les bourgeois, ajoutons, d’ailleurs, que le scandale survenu entre Bonaparte et le parti de l’ordre a pour résultat de ruiner à la Bourse une masse de petits capitalistes et de faire empocher leur fortune par les grands « loups-cerviers ».