Page:Matton - Le croyant, 1852.djvu/10

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 7 —

fleur, quelque pâle qu’elle soit, à la couronne littéraire de notre pays, ah ! alors, nous remercierons le Ciel de nous avoir inspiré ; car, nous le savons bien, lorsqu’une lyre chrétienne rend d’harmonieux accords, c’est qu’une main divine en fait vibrer les cordes.