Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/193

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PROLOGUE,

PAR M. J. HOBHOUSE,

PRONONCÉ PAR M. RAE.

Instruite par vos jugemens, encouragée par vos faveurs, la scène reconnoissante a fait revivre ses illustres morts ; mais quand le génie des siècles passés reparoît, celui de nos jours doit-il renoncer à se faire connoître ? Non, sans doute, et le zèle généreux que vous mettez à immortaliser le poète, quand l’homme a cessé de vivre, vous fera sans doute agréer aussi et couronner d’un suffrage impartial les belles productions de nos contemporains.

Ce soir un barde qui n’a connu, hélas ! jusqu’ici que les peines attachées au talent ;