Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/42

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Clotilde entre.

L’orage paroît appaisé, Madame ; prenez enfin du repos.

Imogène.

Je ne sens pas le besoin du repos.

Clotilde.

Restons donc pour entendre les derniers bruits qui murmurent dans les vents. Je m’assiérai près de vous, tandis que vous raconterez quelque histoire agréable pour tromper le tems.

Imogène.

Bonne Clotilde, j’y suis peu disposée.

Clotilde.

Parlons, je vous en plie, de quelque fantôme qui croise le chemin du voyageur craintif dans une nuit comme celle-ci, ou du marin