Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 1.djvu/155

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Une nuit qu’il s’agitait tristement dans son lit sans pouvoir y goûter le repos, et sans oser le quitter de peur de se sentir plus mal encore, il crut s’apercevoir que la faible lumière que répandaient les restes de son feu, était obscurcie par un objet qui le cachait. Il y tourna ses regards, sans curiosité, sans intérêt, mais par le seul désir de changer la monotonie de sa situation, en observant les légers changemens que le hasard pouvait occasioner dans la sombre atmosphère de sa cellule, et il vit l’image de Melmoth, telle qu’il l’avait toujours vue. L’expression de sa physionomie était la même, dure,