Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/213

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Ces mots me frappèrent, je les compris et je répondis :

« Cela ne sera pas nécessaire, mais cela pourra être utile. »

— « Comment ! vous violeriez les secrets de la maison, pendant que vous êtes encore dans ses murs ? »

— « Pardonnez-moi, mon père, si je vous fais observer que vous devez avoir outre-passé vos devoirs puisque vous mettez tant d’importance à cacher ce que vous avez fait. En parlant je ne dévoilerai donc pas les secrets de votre discipline, mais sa violation. »

Le supérieur gardant le silence, j’ajoutai :

« Si vous avez abusé de votre pouvoir, c’est vous qui avez été le coupa-