Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/250

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donne de vous retirer ; partez et ne nous troublez plus. Arrêtez, » continua-t-il en voyant que j’allais obéir, « arrêtez, les intérêts de la religion et de cette communauté exigeaient que je vous parlasse des circonstances extraordinaires qui ont accompagné votre profane présence dans ces murs ; sous peu de jours vous aurez une visite de l’évêque, préparez-vous-y comme vous le pourrez. »

Je regardai ces mots comme les derniers qu’il allait m’adresser, et je voulus me retirer, mais on me rappela. On aurait désiré que je fisse ou des remontrances ou des supplications ; je résistai à toutes les suggestions que l’on me fit, comme si j’avais déjà su, ce que je n’ap-