Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/63

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que ma mère tomba sans connaissance à mes pieds. Quand je m’efforçai de la soulever, dans le doute si elle vivait encore, je sentis que je ne me serais jamais pardonné, si un refus de ma part l’avait réduite à cet état.