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une glace et à son pied se brisait l’océan de feu. Soudain il vit un groupe de figures s’élever à mesure qu’il descendait. Il tendit successivement la main à toutes ; c’étaient Stanton, Walberg, Éléonore Mortimer, Monçada, Isidora ; une foule d’autres. Toutes passèrent devant lui ; aucune ne lui présenta une main secourable.
Son dernier regard de désespoir fut encore dirigé vers le cadran de l’éternité. Le bras terrible semblait pousser l’aiguille ; elle parvint à son terme, il tombe, il plonge, il brûle, il crie ! Les ondes flamboyantes couvrent sa tête et l’éternité fait entendre ces mots : « Place à l’âme de l’Homme errant ! » Les vagues de l’océan brû-