Page:Maupassant - L’Homme de lettres, paru dans Le Gaulois, 6 novembre 1882.djvu/11

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Je prends, dans un livre paru récemment, un exemple frappant de cette observation involontaire, pratiquée sur soi-même aux heures les plus douloureuses. Un de ceux qui ont le plus travaillé et souffert par l’art, Gustave Flaubert, après avoir passé la nuit auprès du corps de son plus cher ami, de celui dont la mort le laissa inconsolable, écrivait à M. Maxime Du Camp une étrange et superbe lettre dont voici des fragments :