Page:Maupassant - La Maison Tellier.djvu/63

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

se mit à faire claquer son fouet en sautant et chantant de toutes ses forces :


Combien je regrette
Mon bras si dodu,
Ma jambe bien faite,
Et le temps perdu !


Puis il regarda s’éloigner un mouchoir blanc qu’on agitait.