Page:Maupassant - Le Horla.djvu/129

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à Rose, parfaite ! absolument parfaite… Elle pleurait… elle pleurait très bien. C’est une fille précieuse… Si tu en as jamais besoin, n’oublie pas !

« Et me voici… Je suis venue tout de suite te raconter la chose… tout de suite. Je suis libre. Vive le divorce !… »

Et elle se mit à danser au milieu du salon, tandis que la petite baronne, songeuse et contrariée, murmurait :

— Pourquoi ne m’as-tu pas invitée à voir ça ?