Page:Maupassant - Le Rosier de Madame Husson.djvu/297

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mange pas tous les jours, allez. Y en a trop. Enfin, tant pis, chacun sa peine, n’est-ce pas ?

Elle se tut. Je marchais à son côté, le cœur serré. Tout à coup, elle se remit à me tutoyer.

— Alors tu ne montes pas chez moi, mon chéri ?

— Non, je te l’ai déjà dit.