Chacun sait par cœur ces vers :
Tu n’as jamais été dans tes jours les plus rares, |
Mais ces vers, tout beaux qu’ils sont, ne valent point peut-être les délicieux bijoux, les petites œuvres délicates, exquisement ouvragées, adorablement maniérées, qu’on trouve partout dans ces deux recueils, ni les poèmes de grande allure où passe ce souffle puissant hautement lyrique qu’il avait en lui. Rien n’est plus grand que « la Colombe », — « les Fossiles », — « l’Abbaye ». Rien n’est plus gracieux que le « Dieu Pu », — « Chanson d’Amour » — « À un Nouveau-Né ».
Écoutons-le conter les amours d’une