Page:Maynard - Œuvres poétiques, t. 2, éd. Garrisson, 1887.djvu/94

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Dès lors Lyridan fut heureux,
Et son cœur jadis langoureux
Vesquit en sa belle déesse.
Ce que Florize désira
Pour cela seul il respira,
Plain d’heur, et libre de tristesse.