Page:Meilhac et Halévy - Théâtre, IV.djvu/362

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PAULINE.

Grisons-le !

GABRIELLE.

Si ça ne fait pas de bien, ça ne peut pas faire de mal.

Rentrent les hommes apportant trois petites tables. – Pendant le chœur qui suit, on se place dans cet ordre : à la table de gauche, Prosper, Clara et Louise ; à celle du milieu, Gabrielle, le baron et Pauline ; à celle de droite, Bobinet, Urbain et Léonie.

FINALE.
GABRIELLE.
Soupons, soupons, c’est le moment,
Et tachons de souper gaîment !
Ne nous lançons pas tout de suite,
Allons doucement, piano ;
C’est sottise d’aller trop vite :
Qui va piano, va sano.
LE BARON, offrant son bras.
Prenez mon bras, madame.
PAULINE.
Je le veux bien, baron.
PROSPER, même jeu.
Souffrez que je réclame…
CLARA.
Je ne vous dis pas non.
BOBINET.
La comtesse est exquise.
LÉONIE.
Taisez-vous, amiral.
URBAIN.
M’acceptez-vous, marquise ?
GABRIELLE.
Comment donc, général.
ENSEMBLE.
Ne nous lançons pas tout de suite, etc., etc.

On s’assied.