Page:Mendès - Petits Poèmes russes, 1893.djvu/11

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

I

L’ANTCHAR




Au désert calciné, sur le sol qui se ride
En rêches ornières de char,
Ainsi qu’une vigie effrayante, l’Antchar,
Seul, se dresse en l’azur torride.