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PAGODE.




LE MYSTÈRE DU LOTUS




Ta colère triomphe, ô Kâla ! nul refuge.
Bleue encor des poisons de l’océan lacté,
Ta sombre gorge avait amassé le déluge.

Telle qu’un grand ravin par l’orage habité,
Ta narine profonde a soufflé la tourmente
Sur l’incendie issu de ton œil irrité.

Où sont les vastes cieux et la terre charmante ?
Hélas ! toute la vie et toute la beauté
Gisent sous l’onde morne où le vent se lamente.