Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/215

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MARCELINE.


Un matin, un domestique revêtu d’une riche et élégante livrée entra chez l’abbé Dervin et lui remit de la part de sa maîtresse un billet ainsi conçu :

« Mon vieil ami, j’ai besoin de vous ; j’ai vainement employé toute mon éloquence de mère pour vaincre la résolution de ma fille. Marceline s’obstine à refuser la main du vicomte de Nercy, et persiste également à vou-