Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/367

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FULBERTINE.


Savez-vous bien, Fulbertine, qu’il y a dans vos yeux de séduisans regards ? un sourire enchanteur sur vos lèvres ? une douce et fraîche nuance de rose sur vos joues veloutées ? Cette robe vous sied à ravir ; cette façon de corsage vous donne une tournure sylphidienne : vous êtes admirable ce soir. Oh ! vous plairez, soyez-en sûre… Attendez ; écartez un peu cette boucle, n’en voilez pas ce front si pur, n’en cachez pas cet œil si beau.