Page:Merlet - Tableau de la littérature française, 1800-1815, 1878.djvu/590

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
570
TABLE DES MATIÈRES.

Denne-Baron. — II. L’ossianisme : ses éléments. Vagues tristesses. L’Empereur, et son barde favori. Ossian, et Mme  de Staël. Le romantisme de l’Empire. — Baour-Lormian ; l’arrangeur habile, et prompt à l’à-propos. Sa Jérusalem délivrée. Ses épigrammes. Il se fait le Ducis d’Ossian. Services rendus par cet engouement populaire. Veillées poétiques et morales. Conclusion 419

CHAPITRE VI. — Chênedollé. Un poëte né trop tôt, mort trop tard. Son enfance rêveuse. Le vif sentiment de la nature. Influences de Rivarol et de Klopstock. Il est égaré par ses guides. Poëme de la Nature. Tristesse et deuil. L’inspecteur d’Académie. Le Génie de l’Homme. Hardiesse du plan. Il était fait pour la pastorale. Il vécut trop isolé. Ses Études poétiques. L’art lui fut un culte 436

CHAPITRE VII. — Pierre Lebrun. Ses aptitudes précoces. Tout enfant, il est distingué par le Premier Consul. Son Ode à la Grande Armée. Lyrisme sincère. Ode au Vaisseau de l’Angleterre. Retraite de Tancarville. Les inspirations de la solitude. La tragédie d’Ulysse, et Louis XVIII. Ses Messéniennes. Jeanne d’Arc. Super flumina Babylonis. Le novateur prudent. Marie Stuart, 1820. La Grèce, et les chants qu’elle lui inspire. Franchise, et simplicité d’accent. MM. Lebrun et Victor Hugo. La Mort de Napoléon. Le Cid d’Andalousie. Ses fantaisies. Un trop sage précurseur. Conclusion 448

APPENDICE

Prosateurs 465

Poètes 493

FIN