Page:Michelet - OC, Histoire de la Révolution française, t. 2.djvu/195

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

mettait entre l’armée et le peuple, est obligé de céder. Peuple, soldats, unis de cœur, tous assistent à ce grand spectacle : l’inflexible va fléchir, le roi ordonne, il obéit ; il s’avance entre eux, triste et sombre, et, sur son épée royaliste, jure fidélité à la Révolution.