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LA RÉACTION PAR LES FEMMES

main au meurtre, leur affilaient le couteau pour saigner la République. Nombre de Montagnards, Tallien, Bentabole, Rovère, s’étaient mariés noblement. Le boucher Legendre, longtemps aplati comme un bœuf saigné, redevint tout à coup terrible sous l’aiguillon de la Contât ; cette maligne Suzanne du Figaro de Beaumarchais jeta le lacet au taureau, et le lança, cornes basses, au travers des Jacobins.

Nous n’avons pas à raconter ces choses. Tout ceci n’est plus la Révolution. Ce sont les commencements de la longue Réaction qui dure depuis un demi-siècle.